Cerisier japonais par Cathy Bechennec

Par le biais de cette étude, via Internet, j’aimerais susciter la curiosité et l’attention de quelques novices et spécialistes en la matière.

Que mes travaux et recherches connaissent une suite, qu'ils ne viennent pas s'échouer sur une étagère, s'abriter dans un classeur,... mais qu'ils prennent le large d'une manière interactive.

Persévérant dans ce sujet, je continue à m’investir et à rechercher « la voie du cinéma japonais » à travers d’autres approches en espérant pouvoir bientôt apporter de nouveaux éléments à cette première étude.

L’empire du Japon est, de tous les pays du monde, celui qui a offert le plus d’attrait à ma curiosité.

Résumé

Découvert par hasard en 1952, récompensé dans les plus grands festivals européens et suscitant des vagues d’enthousiasme de la part des critiques, le cinéma japonais a connu une réception exceptionnelle en France. Il a fallu presque trente ans pour découvrir l’immuable triumvirat « Kurosawa-Mizoguchi-Ozu ». Trente années pendant lesquelles les critiques se sont familiarisés peu à peu avec un cinéma unique et exemplaire à bien des égards. Si cette étude met en évidence la diversité des regards, analyses, discours, interprétations... émis à l'encontre des films japonais, elle a également pour objectif de trouver un sens rationnel à l’approbation quasi unanime de cet événement cinématographique ; comprendre pourquoi ces films sont apparus, pour beaucoup, comme « un miracle d’équilibre et de perfection ». 

Conceptrice : LE MINEZ Nolwenn

Mise en ligne de ce site : Juillet 2005

Dernières mises à jour : Novembre 2007

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