Les plus grands artistes européens ( Matisse, Ernst, Braque…) manifestent leur enthousiasme pour ce nouvel art du bout du monde. Conséquence directe :
« Les liens avec l’Europe se resserrèrent et se concrétisèrent.[2] »
L’art nippon trouve petit à petit sa place à l’étranger et les années 50 seront le début d’un renouveau mondial. Des artistes japonais sont désormais récompensés dans des manifestations étrangères.
Taro Okamoto publie ses travaux à la biennale de Sao Paulo en 1953 et à celle de Venise en 1954.
Masuo Ikeda gagne le grand prix de l’estampe à la biennale de Venise en 1966.
Yasunari Kawabata est le premier écrivain asiatique à recevoir le prix Nobel de littérature en 1968.
Les oeuvres de Yukio Mishima et Kobo Abe font le tour du monde.