Cinéma sans frontières
« C’est le suprême de l’art que la reconstruction
d’une réalité universelle à partir d’une abstraction.[1] »
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Par son universalité le cinéma japonais concerne tout le monde, tous les pays, quelle que soit l’époque. A la fois spécifique et originale, c’est une nouvelle façon de traiter l’universel par le traditionnel. |
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[1] Douchet, « A bâtons rompus »,Image et son, n°222, p :23
[2] Bazin à propos du film Vivre, Cahiers du cinéma, n°69, mars 1957, p :36-37
[3] Douchet, « La connaissance totale », Cahiers du cinéma, n°114, dec 1960, p :55-57
[4] A propos de Dodes’ kaden , Cinéma, n°193,dec 1974, p :108-110
[5] Chevallier, Revue du cinéma, n°272, mai 1973, p :105-107
[6] « Ozu à Rennes », Revue du cinéma, n°338, avr 1979, p :23-25